Côte d’Ivoire

ALG en Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire est la première économie de l’UEMOA. A ce titre, le pays tient une place stratégique dans le positionnement d’ALG dans la région. ALG Côte d’Ivoire est en cours de constitution, dans le cadre d’un partenariat avec un groupe d’experts associés à la firme.

Les secteurs dans lesquels ALG s’impliquent en Côte d’Ivoire sont:

  • Les Technologies de l’information;
  • Le développement de contenu web pour les entreprises et les organisations;
  • Le conseil en organisation et stratégie;
  • Audit et évaluation de projets et programmes…

En 2010, ALG a réalisé une importante mission en Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’audit des comptes du Programme de valorisation des ressources humaines (deuxième phase); un programme financé par la Banque Africaine de Développement (BAD).

A propos de la Côte d’Ivoire

L’économie, essentiellement axée sur la production de café et de cacao, connaît au cours des deux premières décennies un essor exceptionnel, faisant de la Côte d’Ivoire un pays phare en Afrique de l’Ouest. En 1990, le pays traverse, outre la crise économique survenue à la fin des années 1970 et qui perdure, des périodes de turbulence aux plans social et politique. Ces problèmes connaissent une exacerbation à la mort de Félix Houphouët-Boigny en 1993. L’adoption d’une nouvelle Constitution et l’organisation de l’élection présidentielle qui, en 2000, porte au pouvoir Laurent Gbagbo, n’apaisent pas les tensions sociales et politiques, qui conduisent au déclenchement d’une crise politico-militaire le . L’élection en 2010 d’Alassane Dramane Ouattara à la tête du pays marque la fin de la crise. Depuis lors, la Côte d’Ivoire a renoué avec la croissance et se positionne à nouveau comme l’une des économies les plus prometteuses de la région.

Nouvelle ère économique

Le nouveau président Alassane Ouattara est un économiste international reconnu. Le pays, encouragé par une nouvelle stabilité politique, peut espérer retrouver d’abord la confiance en lui-même pour mener les nombreuses réformes nécessaires puis la confiance des grandes organisations internationales et des autres pays. Parmi les points les plus urgents, la compétitivité de ses activités principales, la création d’un environnement administratif et bancaire propice aux affaires, la réhabilitation et la modernisation des infrastructures (réseau téléphonique, routes et port, énergie).

Avec le redémarrage des activités, la prévision de croissance du PIB est passée de 4,5 % à 8,6 % en 2012, après une baisse de 4,7 % en 2011.

L’agriculture vivrière, l’élevage, l’extraction minière, l’exploitation pétrolière et la compétitivité des exportations connaissent certes une embellie, mais les performances du secteur productif sont contrariées par l’accroissement de la dette intérieure. Cependant en juin 2012, le FMI, la Banque mondiale et le Club de Paris ont approuvé une réduction de la dette extérieure de 64,2 % soit 8,18 milliard de dollars.

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